« Assez » montre avec subtilité et intelligence la conséquence la plus tragique, la plus visible de la domination masculine : les violences subies par les femmes.
Loin des clichés et autres idées reçues sur ce thème, servi par de très bons comédiens et une mise en scène impeccable, « Assez » nous bouleverse : elle nous bouscule en évitant la caricature. La force de cette pièce réside, sans doute, dans sa capacité à mettre en scène la part obscure et voilée de l’intimité des rapports entre femmes et hommes, et de celle du public. « Assez » est beaucoup plus qu’une bonne pièce. C’est une pièce utile.
Denis LENOBLE - Cadre de santé.
" La complexité de l'enfer à deux passe avec brio et l'auteure nous rapelle avec talent et les mots de gens ordinaires : pour que le boureau existe il lui faut une victime et inversement ".
Evelyne PEROCHON - Psychiatre.
"J'ai aimé dans cette pièce le fait qu'elle illustre parfaitement la possibilité pour chacun de se trouver, un jour, dans cette situation. En effet, le milieu favorisé des personnages, la culture dont ils font preuve et leur liberté d'expression au début de la pièce, montrent qu'il ne s'agit pas d'une faiblesse quelconque ou d'un manque d'argent, mais bien d'un amour incontrôlé et passionnel qui dévore le coeur et fait remonter notre part la plus sombre".
Un élève de seconde du Lycée de l'Image et du son.
"Comment montrer l'indicible ? Comment décrire la chute d'une femme, de milliers de femmes enfermées dans le cercle de la violence verbale et physique ? Francy Bethenoux-Seguin a su avec délicatesse saisir l'humiliation et la détresse de ce qui est encore un scandale dans toutes les sociétés d'aujourd'hui."
Evelyne VIDEAU - Membre d'Amnesty international.
"Assez" confirme deux choses essentielles: la violence conjugale n'est pas une affaire de milieu social et les femmes qui la subissent ne la cherchent pas, ne la méritent pas et, non, elles n'aiment pas "ça"! Le jeu est subtil ...Qui est faible? Qui est fort? La fin de la pièce, en trompe l'oeil, ne trompera personne ...
Claudy VOUHÉ - Présidente de l'association Genre en Action.
"Cette pièce était vraiment incroyable. Très touchante et émouvante, elle nous pousse à nous sentir concernés, à réfléchir et à nous poser des questions. Un de ses grands atouts, c'est qu'elle nous fait vraiment ressentir des choses, nous fait frissonner, rire ou même pleurer. Elle traite d'un sujet, en général plutôt tabou, sans cacher la vérité. Elle répond à toutes les questions que l'on peut se poser sur la violence conjugale".
Une élève de seconde du Lycée de l'Image et du son.
Loin des clichés et autres idées reçues sur ce thème, servi par de très bons comédiens et une mise en scène impeccable, « Assez » nous bouleverse : elle nous bouscule en évitant la caricature. La force de cette pièce réside, sans doute, dans sa capacité à mettre en scène la part obscure et voilée de l’intimité des rapports entre femmes et hommes, et de celle du public. « Assez » est beaucoup plus qu’une bonne pièce. C’est une pièce utile.
Denis LENOBLE - Cadre de santé.
" La complexité de l'enfer à deux passe avec brio et l'auteure nous rapelle avec talent et les mots de gens ordinaires : pour que le boureau existe il lui faut une victime et inversement ".
Evelyne PEROCHON - Psychiatre.
"J'ai aimé dans cette pièce le fait qu'elle illustre parfaitement la possibilité pour chacun de se trouver, un jour, dans cette situation. En effet, le milieu favorisé des personnages, la culture dont ils font preuve et leur liberté d'expression au début de la pièce, montrent qu'il ne s'agit pas d'une faiblesse quelconque ou d'un manque d'argent, mais bien d'un amour incontrôlé et passionnel qui dévore le coeur et fait remonter notre part la plus sombre".
Un élève de seconde du Lycée de l'Image et du son.
"Comment montrer l'indicible ? Comment décrire la chute d'une femme, de milliers de femmes enfermées dans le cercle de la violence verbale et physique ? Francy Bethenoux-Seguin a su avec délicatesse saisir l'humiliation et la détresse de ce qui est encore un scandale dans toutes les sociétés d'aujourd'hui."
Evelyne VIDEAU - Membre d'Amnesty international.
"Assez" confirme deux choses essentielles: la violence conjugale n'est pas une affaire de milieu social et les femmes qui la subissent ne la cherchent pas, ne la méritent pas et, non, elles n'aiment pas "ça"! Le jeu est subtil ...Qui est faible? Qui est fort? La fin de la pièce, en trompe l'oeil, ne trompera personne ...
Claudy VOUHÉ - Présidente de l'association Genre en Action.
"Cette pièce était vraiment incroyable. Très touchante et émouvante, elle nous pousse à nous sentir concernés, à réfléchir et à nous poser des questions. Un de ses grands atouts, c'est qu'elle nous fait vraiment ressentir des choses, nous fait frissonner, rire ou même pleurer. Elle traite d'un sujet, en général plutôt tabou, sans cacher la vérité. Elle répond à toutes les questions que l'on peut se poser sur la violence conjugale".
Une élève de seconde du Lycée de l'Image et du son.